J’ai failli ne pas vous écrire cette lettre.
Parce que ce que j’ai à vous dire risque de bouleverser tout ce que vous croyez savoir sur l’Ère du Verseau.
Et honnêtement ? Je ne suis pas sûr que vous soyez prêt à l’entendre.
Mais tant pis… Il faut que ça sorte.
Car
L’Ère du Verseau dont tout le monde parle est peut-être la plus grande incompréhension spirituelle de notre époque
Pas une arnaque volontaire.
Non.
Plutôt un malentendu cosmique qui arrange bien trop de monde.
Il y a trois semaines, je suis tombé sur un manuscrit dans les archives de la Bibliothèque François Mitterrand.
Un texte d’André Barbault, le plus grand astrologue français du XXe siècle.
Celui qui a prédit la chute du mur de Berlin et la pandémie de 2020.
Dans ses notes personnelles, datées de 1987, il écrit :
« L’humanité se méprend sur l’Ère du Verseau. Elle attend un événement alors qu’il s’agit d’un processus. Elle cherche une porte alors qu’il s’agit d’un fleuve. »
Un fleuve.
Pas une porte qu’on franchit.
Un fleuve dans lequel on entre progressivement.
D’abord les pieds.
L’eau est froide.
On hésite.
Puis les genoux.
Le courant nous surprend.
Ensuite la taille.
On perd pied.
Et enfin… on nage.
Ou on coule.
Nous sommes actuellement à mi-cuisse dans ce fleuve cosmique.
Et beaucoup commencent à sentir que le courant s’intensifie.
Alors…
Le mensonge confortable qu’on préfère croire
L’Ère du Verseau « officielle » – celle où le point vernal entre astronomiquement dans la constellation du Verseau – ne commencera pas avant 2060 au plus tôt.
Peut-être même pas avant 2160.
Tout dépend du système de calcul utilisé.
Je sais.
Votre mental refuse cette information.
« Mais Gabriel, pourquoi tout le monde dit qu’on y est déjà ? »
Parce que c’est plus vendable.
Les gens veulent de l’espoir maintenant.
Pas dans un siècle.
Alors on leur dit ce qu’ils veulent entendre.
Que le paradis est pour demain.
Sauf que le paradis n’est pas pour demain.
La transformation, oui.
Le chaos créatif, oui.
L’opportunité d’évolution, oui.
Mais le paradis sur Terre ?
Non.
Ce qui se passe VRAIMENT (et pourquoi c’est plus fascinant)
Nous ne sommes pas dans l’Ère du Verseau.
Nous sommes dans ce que j’appelle le « temps du crépuscule cosmique ».
L’entre-deux mondes.
C’est comme être dans un sas de décompression entre deux dimensions.
L’ancienne réalité (l’Ère des Poissons) se désagrège.
La nouvelle (l’Ère du Verseau) n’est pas encore née.
Et nous ?
Nous flottons dans cet espace liminal.
Imaginez-vous dans une pièce sombre.
Quelqu’un allume progressivement un variateur.
La lumière augmente si lentement que vos yeux s’adaptent sans que vous vous en rendiez compte.
Puis soudain, vous réalisez que vous y voyez clair.
C’est exactement ce qui se passe à l’échelle cosmique.
La lumière du Verseau augmente depuis la Renaissance.
Imperceptiblement.
Génération après génération.
Mais je sais, on vous a dit que vous aviez des « symptômes d’ascension »
Mais vos symptômes ne sont PAS ce qu’on vous dit
Acouphènes. Vertiges. Fatigue chronique. Hypersensibilité.
On vous dit que vous « montez en vibration ».
En réalité, votre corps est conçu pour l’Ère des Poissons.
2000 ans d’adaptation à une certaine fréquence cosmique.
Et là, en l’espace de quelques décennies, la fréquence change.
C’est comme passer brutalement de la 2G à la 5G.
Votre hardware biologique bug.
Donc ce ne sont pas des symptômes d’ascension.
Ce sont des symptômes d’adaptation.
Votre corps fait ce qu’il peut pour s’ajuster à une nouvelle réalité énergétique pour laquelle il n’est pas programmé.
La solution n’est pas d’acheter plus de cristaux ou de faire plus de stages…
C’est d’accepter l’inconfort de la mutation.
Mais voici ce qui m’énerve le plus dans toute cette histoire.
On nous présente l’Ère du Verseau comme quelque chose qui nous « arrive ».
Comme si on était des spectateurs passifs d’un film cosmique.
C’est faux.
Nous ne subissons pas l’Ère du Verseau.
Nous la créons. Choix par choix. Jour après jour
Chaque fois que vous choisissez :
- L’authenticité plutôt que le masque ;
- La collaboration plutôt que la compétition ;
- L’innovation plutôt que la tradition aveugle ;
- La liberté plutôt que la sécurité illusoire ;
- La conscience plutôt que l’ignorance.
Vous tissez littéralement l’Ère du Verseau.
Vous n’attendez pas qu’elle arrive.
Vous la faites advenir.
Ce que les « éveillés » ne veulent pas admettre
Je vais dire quelque chose qui ne va pas plaire à tout le monde.
Beaucoup de gens qui se croient « éveillés » sont juste en train de fuir la réalité de cette transition.
Ils se réfugient dans des bulles spirituelles.
Des communautés « conscientes ».
Des ashrams modernes.
Ils croient qu’ils peuvent sauter la partie difficile et passer directement au paradis promis.
C’est une illusion.
L’Ère du Verseau ne demande pas de fuir le monde.
Elle demande de le transformer.
De l’intérieur.
En restant les pieds dans la boue et la tête dans les étoiles.
Et voici ce que j’ai compris après toutes ces recherches.
La meilleure façon de naviguer cette transition n’est pas de « monter en vibration ».
C’est de devenir un pont.
Un pont entre
L’ancien et le nouveau…
La terre et le ciel…
L’individuel et le collectif…
La technologie et la spiritualité…
Comment ?
Simple mais pas facile :
Chaque matin, posez-vous cette question :
« Comment puis-je honorer le meilleur du passé tout en construisant le futur aujourd’hui ? »
Puis agissez en conséquence.
Pas de méditation de 2 heures.
Pas de rituels compliqués.
Juste cette question.
Et l’action qui en découle.
Donc au final, l’Ère du Verseau n’est ni vraie ni fausse.
Elle est ce qu’on en fait.
Si on attend passivement qu’elle nous sauve, c’est une arnaque.
Si on comprend qu’elle est une opportunité de transformation profonde qui demande notre participation active, c’est la plus grande aventure de l’humanité.
Le choix est entre vos mains.
Vous pouvez continuer à chercher des signes, des dates, des confirmations…
Ou vous pouvez commencer à ÊTRE le changement.
Maintenant.
Aujourd’hui.
À votre façon unique.
Car le secret, c’est que l’Ère du Verseau n’a pas besoin d’arriver.
Elle a besoin d’être incarnée.
Par vous. Par moi. Par nous tous.
Un choix conscient à la fois.
Alors, qu’allez-vous choisir ?
Avec gratitude et enthousiasme pour ce voyage cosmique que nous partageons,